ses cheveux colorent à nouveau ton oreiller
Tu t’obstines à lui donner chance sur chance
Mon ami je m’obstinerai à te bercer
quand elle t’aura à nouveau quitter !
si tu le pouvais tu ancrerai dans l’oreiller
ses cheveux et oublierai le manque, les carences
mais le mal est fait !
le bien pas encore !
ne te fâches pas !
j’ai mâchouillé un fait !
elle te fuira encore !
ne me lâches pas !