Tes trêves barbelées infectent nos plaies
Tu veux la paix mais le calumet n’est pas allumé
J’aurais fait un effort moi qui n’aime pas fumer
J’aurai largués dans cet envol
des sacs bourrés de mes envies personnelles
On a arraché nos bourgeons
Tout ce qui nous unissait,
ces futurs bonheurs
L’amour est toujours là
C’est éternelle cette chose là !
Je voulais du temps doux pour nous
Où on aurait avec comme seuls outils nos mains
Enterrer les cris les reproches infondés
M’aimes-tu qu’en violence ?