Ton masque à fondu sous l’espoir,
né de son sourire.
Un amour te dévoile
étonnement d'habitude
on camoufle ce qu'on est
pour conquérir
Cette argile était si bien collée
Qu’elle laisse sur ta peau des marques ineffaçable
sous la peau le coeur est-il touché ?
Des masques tu en a tellement, encore !
Tu veux te nourrir
de son souffle, de sa vie colorée
Mais elle,
veut-elle entretenir ton espoir précaire ?