Tu es malheureuse
si j'avais tenu ta main plus souvent ?
si j'étais venu te rendre visite plus souvent ?
aurais tu été moins malheureuse ?
non !
moi, si !
sait-tu au moins ce qui te rends malheureuse ?
Non !
Moi, si ?
Je ne sais pas pourquoi,
Tu es si malheureuse !
Je ne peux que supposer
C'est à toi de graver des pourquois !
dans tes peines journalières !
Je veux supporter avec toi
tes journées cavalières