Cette année, le printemps nous a rendu visite plus tôt
Il a oublié les grandes tristesses de l’adolescent mars
Qu’il ne peu consolé
Et les sueurs froide de la jeune mai qui lui abîme la peau
Les arbres ont déployé leurs ailes a son passage
Heureux de le revoir
Mais leurs duvets tomberont sans se transformer en plumes