Ce poème inaugure une nouvelle catégorie : poème en création
Comme l'indique la catégorie il est en ... Il est très grand
(j'espère qu'il ne vas encore grandir)
J'ai écris le reste mais il faut que je travaille dessus
et peut être aussi sur ce passage :
Tu es venu avec ton Tipp-ex
dessiner des étoiles
sur mes pages noyer d'encre
l'odeur m'a tout de suite apeurer
mais tu sais convaincre
Au bout de ton discours
Je n’avais plus d’arguments :
Ces hameçons coller à ma rive !
Ta voix les a arrachés
Et ils se sont évaporé comme l’espoir jadis
Espoir qui selon tes dires:
Devait revenir aux galops
cabosser mon présent
suivis du bien être, de l’ambition :
celle qu’on veut « réalisatrice de tout » !
Ces apocalypses devaient ouvrir sur demain
mes portes rouillées par le manque de confiance
et les interrogations qui l’accompagnent
…
J'ai des étoiles dans les yeux
elles sont fades
j'ai du cristal dans les veines
de la poudre a baliverne
amorce vers l’enfer
De la poudre qui fond en fumer
pour s’envoler jusqu’à mes nerfs
mes cellules mon âme
Formant des mirages soulagements
Maman ne va pas être contente
elle va choisir, seule ma futur chambre
Le bois, sa teinte : du blanc ?
Le blanc c’est faux cul, ça !
c’est salissant !
Je me rappelles mes mensonges,
mes promesses filés à la salive,
trop de doses de Tipp-ex: on déraisonne
Toi l’inconnu, tu me fais du bien à dire des bêtises
Je suis pas une pauvre petite fille
tu me connais a peine. je vais mourir,
Je le mérites
Je suis trop grande pour ne pas assumer
Pour qu’on me donne autre chose que de la pitié
Je ne demande même pas de la tolérance pour ma douleur
J’aurais voulu être une personne comme toi.
Je suis tout le contraire
C’est si facile de faire du mal : aucunes difficultés
Il suffit de fermer les yeux
de laisser ses bras parallèles à sons corps, à sa vie
En premier on se fait du mal
puis pour se soulager
on fait du mal aux autres
C’est beaucoup plus facile avec le venin en soi
on ne pense plus, du moins beaucoup moins
Je savais ce que je faisais
je savais ce que je n’était pas
et c’est si douloureux