Vite, il faut que je me dépêche.
Il faut que j’arrête de me lamenter ;
arrêter de couler de fausses larmes.
Il faut que je file, ne pas traîner.
Trop tard, mes vraies larmes m’ont rattrapées !
Et d’autre arrivent : une nouvelle perte.
La peine étouffe : je suis à nouveau brisée.
Bonheur reste, ne fuit pas, je t’attrape !