On piétine maintenant sur les étoiles !
Sont-elles vraiment éteintes ?
Nos mines abimées sur cet inconfort ;
Eteignent nos rêves les plus graves.
Ces astres échoués vont-ils regagner le ciel ?
pour que je puisse m’éloigner de toi
ou plutôt de ce j’ai voulu de nous deux
Je m’ensable dans cette chair d’étoiles !
Comme dans tes étreintes !
M’aimes-tu ? Même avec efforts :
ça passe, ça suffira ! Plus de rêves.
Plus de rêves de nous deux : tout gèle !
Je t’aime, je m’aime. Il faut que je pense à moi !
Et ton blabla continue : tu me demandes peu !
Ce peu est déjà beaucoup !
Ce sont les gouttes en trop !
Tu as besoin de mon feu
Tu te fais romantique
C’est bien la première fois !
Désormais je te rends tes coups
Et ce feu avec peu de maux !
Tu l’as éteint : regarde les cieux !
Plus d’étoile : encore une lune ;
Et tu ne penses qu’à toi !
Ce ciel est le notre !
Peut-être qu’il n’est qu’à moi ?
Puisqu’il t’indiffère,
oui ce fut le notre,
tant qu’en nous j’ai eu fois.
Souvent je t’indiffère !
On piétine maintenant sur les étoiles !
Sont-elles vraiment éteintes ?
Nos mines abimées sur cet inconfort ;
Eteignent nos rêves les plus graves.
Ces astres échoués vont-ils regagner le ciel ?
pour que je puisse m’éloigner de toi
ou plutôt de ce j’ai voulu de nous deux
Je m’ensable dans cette chair d’étoiles !
Comme dans tes étreintes !
M’aimes-tu ? Même avec efforts :
ça passe, ça suffira ! Plus de rêves.
Plus de rêves de nous deux : tout gèle !
Je t’aime, je m’aime. Il faut que je pense à moi !
Et ton blabla continue : tu me demandes peu !
Ce peu est déjà beaucoup !
Ce sont les gouttes en trop !
Tu as besoin de mon feu
Tu te fais romantique
C’est bien la première fois !
Désormais je te rends tes coups
Et ce feu avec peu de maux !
Tu l’as éteint : regarde les cieux !
Plus d’étoile : encore une lune ;
Et tu ne penses qu’à toi !
Ce ciel est le notre !
Peut-être qu’il n’est qu’à moi ?
Puisqu’il t’indiffère,
oui ce fut le notre,
tant qu’en nous j’ai eu fois.
Souvent je t’indiffère !