Ou mes rêves, seulement mes rêves ;
toi, tes rêves ne sont qu’étoiles.
Ou plutôt stars à la traîne de ettes,
un peu de planètes lointaines : ces vraies stars.
Et plein de comètes couvertes
de tes plans légers et incompréhensibles;
le bleu de tes yeux les a alourdies.
Tu me trouves, à tes futiles désirs : insensible.
Tu m’as enterrée dans mes soucis :
ne l’oublies pas. L’amour que je te porte,
ne m’empêche pas de voir tes regards :
sur nous, sur ailleurs, sur ses parfaites
concubines : que tu penses, que tu rêves.
Ses starlettes plus fausses que les étoiles !