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Un baiser trop voulu Une déception exagérée L’adolescence revient frapper à la porte ? L’adolescence arrive pour me rebooster ? Mon cœur recousu Voulait tellement s’éclater ! L’adolescence va reprendre la porte ! Ce n’est pas un fade désir qui va me rebooster...

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Un poème pour vous dire Un poème pour vous confier. Un poème pour vous épeler. Pour dire que j’aime que c’est beau d’aimer. C’est une absolue vérité ! Pour te dire aime. Pour dire : j’aime. Pour se rappeler : qu’on m’aime, qu’on t’aime. Un poème pour...

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Et les fées ne nous disent rien. Elles continuent de tracer leurs chemins, sur nos peines à venir. Ne t’inquiète pas. On a plein de bonheurs. Pour apaiser nos milliers de tristesses. Et les fées ne nous aiment pas. Elles n’ont peut-être pas tort ! Quel...

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Le mauve dans le jardin parfume, endolore. Mais ne fait pas oublier La tête tourne depuis que j’en ai fait prisonnier dans la maison. C’est beau et lumineux mais la nuit : ça empoisonne jusqu’à la tristesse. Les pensées chagrines ne peuvent s’envoler...

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Tu griffonnes sur sa peau des mots que tu ne penses pas des mots que tu ne ressens pas Tu ne chantes que l’amour faux

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Et les lumières se sont éteintes. C’est la fin de notre histoire Trop de reproches, trop d’envies non partagés. Et surtout des besoins malmenés, et les lumières se sont éteintes. Il n’y a plus d’allumettes dans les tiroirs. Les cierges fondus ont trop...

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Un poème en plein cœur comme un vrai uppercut ! Tristesse qui n’est jamais parti, espoir qui résonne dans ton air. Un poète dans ton cœur qui tous les jours lutte contre le néant. Le souvenir d’un amoureux soupirant qui t’éternise pour que tu vives à...

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J'ai dessiné mes larmes, bien entendu ! Je ne t'aime plus, Bien entendu ! Cette tristesse est fausse, de ma convenance : bien entendu ! J'ai inventé mon drame bien entendu ! Tu m'aimes plus que plus, bien entendu ! C'est pas toi qui me quittes ? avec...

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Croire en toi, n’est pas croire en moi. T’aimer, n’est pas m’aimer. Je sais qu tu m’aimes ! Tu sais que je t’aime ! Ta façon de m’aimer, deviens ma façon de me détester. Etre avec toi, ne rythme plus avec joie T’aimer, n’est pas m’aimer Je sais que je...

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L’aile parfumée de soleil écrit sur mon souffle : l’appétit de vie. Fin résonne à mon oreille. Fane : la vie du papillon. L’ailé teinté de soleil s’abîme dans mes souffles. Il fuit la nuit. Il ne veut pas quitter son ciel. Sa peine résonne à mon âme....

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Rien que ta peau, loin de moi. Je perds mes repaires. Tu es source de mes maux ! Près de toi, Il n’y a plus que tes airs.

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J’ai le goût de ton souffle, sur ma peau, dans mes pores. Un manque, un gouffre : sans tes mots, sans ton décor.

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Je déambulais au loin. Comme toujours, ton absence parfumait la maison. Je me fuyais, sans me débattre Je me noyais, non loin de ma tour fait de mes carences en toi, en raison. Puis me décidais à me débattre, à me sauver, à nous quitter.

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Vite, il faut que je me dépêche. Il faut que j’arrête de me lamenter ; arrêter de couler de fausses larmes. Il faut que je file, ne pas traîner. Trop tard, mes vraies larmes m’ont rattrapées ! Et d’autre arrivent : une nouvelle perte. La peine étouffe...

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Un baiser trop voulu Une déception exagérée L’adolescence revient frapper à la porte ? L’adolescence arrive pour me rebooster ? Mon cœur recousu Voulait tellement s’éclater ! L’adolescence va reprendre la porte ! Ce n’est pas un fade désir qui va me rebooster...

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Ecrire, jusqu’à s’énerver jusqu’à se faire mal. S’exploser plus que le caisson. Ecrire, jusqu’à éclater, son âme : en mille râles : râles dévoreurs de raison.

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Un poème pour te dire que tu me manques que j’ai si mal de toi Un poème qui vaut pour tous Mon cœur est noyé de ne plus te parler t’écouter te voir Un poème pour leur dire Je l’aime

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